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Le troisième secret de Fátima

Selon les recommandations de soeur Lúcia dos Santos, la troisième partie du message de Fàtima devait être révélée au monde en 1960. Malgré cela, elle fut maintenue sous scellés durant plus de quarante ans. Le Pape ne consentit à la divulguer que contraint et désespéré. Pour quelle raison l’Église a-t-elle agi ainsi ? Que craignait-elle et pourquoi faire ces révélations maintenant ? En fait, le Saint-Siège n’autorisa la divulgation de ce secret qu’après s’être persuadé que personne ne parviendra jamais à l’interpréter ! Mais c’est oublier que Dieu, dans Sa Miséricorde, ne permet pas toujours au faux de triompher.

Jacinthe Marto avait mis en garde contre le seul péché qui ne saurait être pardonné par Dieu. Elle s’en était confiée à sa cousine Lúcia et à son frère Francisco avec lesquels elle a vécu les événements de la Cova da Iria, près du petit village de Fátima au Portugal, en 1917. Malgré leur très jeune âge, Jacinthe et Lúcia… avaient reçu la lumière de la connaissance, elles n’ignoraient donc pas la nature de ce péché, un péché qui se trouve au cœur même du Troisième Secret de Fátima. La question de Jacinthe : « pour une seule parole, ils vont en enfer », et la réponse de Lúcia : Oui, car c’est un péché sont assez édifiantes et demeurent une supplique adressée au monde entier par l’intermédiaire de la seule Institution qui était en mesure – et qui l’est toujours – de faire passer leur message. Malheureusement, le Vatican fait toujours semblant d’ignorer ce message et persiste à en dissimuler l’exacte libellé. Tous les papes qui se sont succédé à la tête de l’Église demeurent responsables de la perdition de leurs ouailles, et devront, par conséquent, en assumer l’entière responsabilité devant Dieu.

Cet ouvrage renferme l’exact libellé du message reçu à Fátima, ainsi que sa juste interprétation. Vous serez certainement troublé en découvrant la nature du péché dont parlait avec émotion la petite Jacinthe Marto, péché qui, malgré son très jeune âge, la faisait terriblement souffrir du fait de voir tous ces gens partir en enfer à cause de lui, à cause de ce que tous l’annoncent sans se rendre compte le moins du monde du poids qu’il représente chez Dieu, à cause de la négligence et de la lâcheté de cette Haute Institution qui s’est donnée pour titre éponyme : « la sainte Mère ! » un titre bienveillant, mais si subtilement racoleur.

Vous pouvez lire un extrait sur le site de l’éditeur:

http://www.edilivre.com/le-troisieme-secret-de-fatima-son-interpretation-a-20bdac53b9.html#.VrGXHLLhC00